jeudi 7 juin 2012

La vie est brève et le désir sans fin

"Pourtant, les longs tête-à-tête, les nuits qu'on passe ensemble, les promenades à deux pendant les premiers mois permettent normalement à chacun de pressentir la part de bonheur ou de malheur que l'autre lui apportera. Et Blériot n'avait pas mis longtemps à deviner que la part de malheur serait la plus lourde des deux. Mais il a fait comme si. par manque d'assurance, par immaturité." (Patrick Lapeyre, p.50)